Webcam Evolène
Fibre optique jusque dans les foyers à Evolène
Il n’y a pas que les grands centres urbains ou de plaine qui profitent en premier lieux des nouvelles technologies. Contrainte de remplacer un réseau TV obsolète qui fonctionnait par ondes, la commune d’Evolène, en partenariat avec Energie de Sion-Région, a présenté ce matin son nouveau réseau de fibre optique raccordé jusque dans les foyers. Jusqu’ici, 830 clients ont déjà souscrit à ce service qui véhicule la TV analogique ou numérique, ainsi qu’Internet et la téléphonie. Un taux de pénétration qualifié d’excellent. C’est l’assemblée primaire d’Evolène qui avait opté pour cette solution d’ESR il y a deux ans, alors que Swisscom était également sur les rangs, a rappelé le président de la commune Damien Métrailler. Et sur un investissement global d’environ 3 millions, Evolène a participé à hauteur de 60 à 80 mille francs. Du côté d’Energie de Sion-Région, qui gère le téléréseau sur 18 communes du Valais central, il s’agit des premiers raccordements en fibre optique jusque dans les foyers. La société compte raccorder l’ensemble de ses clients – soit 32 mille à ce jour - d’ici les 10 prochaines années.
Soure : http://www.rhonefm.ch/
Soure : http://www.rhonefm.ch/
Vague de froid
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Semaine polaire avec des températures proches des -20C du 14 au18 décembre. Cette vague de froid devrait se poursuivre jusqu'au 20 décembre avant un redoux graduel, mais très sensible pour le 23 décembre.
Arolla remonte la pente - 7 décembre 2009
SKI - Installations fermées à Noël? De l'argent frais évite ce scénario tant redouté que contesté. Recapitalisation en cours. Les téléskis, en particulier la colonne vertébrale Fontanesses 1, ont besoin d'un lifting. Les travaux sont en cours, la recapitalisation de la société aussi. ¨
La rumeur se faisait insistante. Les remontées mécaniques tourneront bel et bien à Arolla dès Noël. Située sur la Haute Route valaisanne, centre névralgique de la célèbre Patrouille des glaciers, la station aurait évité de justesse de voir ses installations fermées. Aurait, car la gravité de la situation est contestée. Reste que l'injection d'argent frais a permis de sortir Fontanesses S.A. d'un mauvais pas.
Il faut dire que la société devait composer avec une faillite technique et une installation en bout de course.
Travaux urgents
Lors de deux assemblées générales successives, les actionnaires ont mis en place un nouveau conseil d'administration qui a décidé l'assainissement des comptes de la société. «Au vu de la situation, cette opération était devenue indispensable afin de sécuriser nos installations, machines et matériel, mais aussi d'entreprendre des travaux urgents sur nos téléskis, plus particulièrement sur celui de Fontanesses 1», explique le nouveau président de la société Peter Weatherill. «Sans cela, nous n'aurions pas ouvert à Noël.»
Ce téléski situé au pied des pistes fait plus de 2000 mètres de long. Véritable colonne vertébrale, il permet de rallier deux autres installations plus récentes qui desservent le haut du domaine skiable.
Concrètement, c'est une remise en état de certaines parties de l'infrastructure qui est en cours, sur la base d'une liste réalisée par l'organe de contrôle du CITT (Concordat intercantonal sur les téléphériques et téléskis) en mars dernier. «Mais rien n'avait été fait», déplore Peter Weatherill.
Ancien actionnaire principal et président sortant, Vincent Anzévui s'inscrit en faux. «Les problèmes étaient identifiés. Je suis allé deux fois auprès du CITT pour m'assurer que les installations seraient fonctionnelles dès Noël. C'était impensable de ne pas ouvrir. Mais c'est vrai, nous avons un problème de recettes. Il nous manque environ 200 000 francs par an pour être plus à l'aise financièrement. Nous avons recapitalisé cette société presque tous les six à huit ans. C'est le problème de toutes les petites stations. Et je n'ai pas été particulièrement épaulé ces dernières années.»
Recapitalisation
Pour réaliser ce lifting, la société a dû d'abord payer des arriérés à ses fournisseurs. Puis trouver des fonds. Techniquement, Fontanesses S.A. a réduit son capital-actions de 80% et procède actuellement à une augmentation de ce dernier de l'ordre de 400 000 francs.
La société peut déjà compter sur l'aide de la commune d'Evolène pour un montant de 200 000 francs. Reste à trouver l'autre moitié d'ici à fin janvier. Les prestataires touristiques ont été sollicités. Et le seront encore via un tous-ménages distribué ces jours prochains.
L'urgence est de terminer les rénovations d'ici au 17 décembre, date à laquelle l'organe de contrôle se rendra sur les lieux pour vérification. Peter Weatherill y croit. «Nous voulons donner un nouvel élan à ces remontées mécaniques. L'emplacement d'Arolla et l'altitude du domaine skiable, situé entre 2000 et 3000 mètres, nous permettent d'être confiants.»
Pascal Fauchère
source : http://www.nouvelliste.ch/
La rumeur se faisait insistante. Les remontées mécaniques tourneront bel et bien à Arolla dès Noël. Située sur la Haute Route valaisanne, centre névralgique de la célèbre Patrouille des glaciers, la station aurait évité de justesse de voir ses installations fermées. Aurait, car la gravité de la situation est contestée. Reste que l'injection d'argent frais a permis de sortir Fontanesses S.A. d'un mauvais pas.
Il faut dire que la société devait composer avec une faillite technique et une installation en bout de course.
Travaux urgents
Lors de deux assemblées générales successives, les actionnaires ont mis en place un nouveau conseil d'administration qui a décidé l'assainissement des comptes de la société. «Au vu de la situation, cette opération était devenue indispensable afin de sécuriser nos installations, machines et matériel, mais aussi d'entreprendre des travaux urgents sur nos téléskis, plus particulièrement sur celui de Fontanesses 1», explique le nouveau président de la société Peter Weatherill. «Sans cela, nous n'aurions pas ouvert à Noël.»
Ce téléski situé au pied des pistes fait plus de 2000 mètres de long. Véritable colonne vertébrale, il permet de rallier deux autres installations plus récentes qui desservent le haut du domaine skiable.
Concrètement, c'est une remise en état de certaines parties de l'infrastructure qui est en cours, sur la base d'une liste réalisée par l'organe de contrôle du CITT (Concordat intercantonal sur les téléphériques et téléskis) en mars dernier. «Mais rien n'avait été fait», déplore Peter Weatherill.
Ancien actionnaire principal et président sortant, Vincent Anzévui s'inscrit en faux. «Les problèmes étaient identifiés. Je suis allé deux fois auprès du CITT pour m'assurer que les installations seraient fonctionnelles dès Noël. C'était impensable de ne pas ouvrir. Mais c'est vrai, nous avons un problème de recettes. Il nous manque environ 200 000 francs par an pour être plus à l'aise financièrement. Nous avons recapitalisé cette société presque tous les six à huit ans. C'est le problème de toutes les petites stations. Et je n'ai pas été particulièrement épaulé ces dernières années.»
Recapitalisation
Pour réaliser ce lifting, la société a dû d'abord payer des arriérés à ses fournisseurs. Puis trouver des fonds. Techniquement, Fontanesses S.A. a réduit son capital-actions de 80% et procède actuellement à une augmentation de ce dernier de l'ordre de 400 000 francs.
La société peut déjà compter sur l'aide de la commune d'Evolène pour un montant de 200 000 francs. Reste à trouver l'autre moitié d'ici à fin janvier. Les prestataires touristiques ont été sollicités. Et le seront encore via un tous-ménages distribué ces jours prochains.
L'urgence est de terminer les rénovations d'ici au 17 décembre, date à laquelle l'organe de contrôle se rendra sur les lieux pour vérification. Peter Weatherill y croit. «Nous voulons donner un nouvel élan à ces remontées mécaniques. L'emplacement d'Arolla et l'altitude du domaine skiable, situé entre 2000 et 3000 mètres, nous permettent d'être confiants.»
Pascal Fauchère
source : http://www.nouvelliste.ch/
webcam - 9 décembre 2009
Le redoux de dimanche/lundi a été catastrophique comme malheureusement prévu. Des pluies ont été observées jusqu'à 2300/2600 mètres. Le manteau neigeux a été profondément humidifié en moyenne montagne et on ne trouve plus que que 20 cm d'enneigement vers 1500 mètres. Toutefois, la situation est favorble dès 2000 mètres avec 50cm et 1m au dessus de 2500m. L'hiver frappe à la porte
Avalanches: 10 ans après, le Valais se souvient d’un hiver tragique
Le mois de février 1999 est resté gravé dans la tête de Charly Wuilloud, chef de la section dangers naturels du canton du Valais. Tellement que l’homme n’a eu de cesse de vouloir témoigner de cet épisode extraordinaire et cruel à la fois.
C’est chose faite depuis vendredi, date de parution de l’ouvrage «Avalanche! Les événements de février 1999». Présenté aux médias, le livre est signé par huit auteurs, nivologue, ingénieurs forestiers, chef de sécurité ou président de commune, et préfacé par Charly Wuilloud.
Le lourd tribut d’Evolène
L’ouvrage décrit les conditions rencontrées ce mois de février dans huit lieux en Valais: Lourtier, Fully, Evolène, Blatten/ Lötschental, Geschinen, Selkingen/Biel, Blatten-Belalp et Reckingen.
Le chapitre consacré à Evolène, où douze personnes ont perdu la vie sous les avalanches, retrace aussi le retentissant procès du guide responsable de la sécurité et de l’ex-président de la commune. Tous deux ont finalement été condamnés pour homicide par négligence par le Tribunal fédéral, sept ans après les faits.
«Les jeunes nous posent souvent des questions sur les événements de 1999. Avec cet ouvrage, ils auront une trace, une vue plus humaine et moins technocrate de ce qui s’est passé», souligne Charly Wuilloud.
La mort blanche
En ce mois de février 1999, dix-sept personnes au total ont perdu la vie dans les quelque 1200 avalanches survenues dans les Alpes suisses. Plus de cinq mètres de neige s’étaient accumulés en cinq semaines, soit plus que la somme normale durant tout un hiver.
Les dommages matériels ont atteint plus de 600 millions de francs. En Valais, la catastrophe aurait pu faire plus de victimes et de dégâts sans les moyens permanents de protection déployés. Mais «malgré tous les efforts, il ne sera jamais possible de protéger à cent pour cent tous les humains, les animaux et les biens contre les avalanches», rappelle Charly Wuilloud.
En ce dimanche ensoleillé du 28 février 1999, lorsque la situation semble enfin s’apaiser, le téléphone du chef de la section dangers naturels sonne pour la énième fois. Et de se souvenir, ému: «l’hélicoptère qui effectuait un vol de reconnaissance venait de tomber. J’avais perdu trois amis de plus.» (ats)
Le livre « Avalanches, les événements de février 1999″ sera disponible dans toutes « les bonnes librairies » de Suisse romande, indique l’Etat du Valais.
La grande douceur se poursuit - 17 novembre 2009
Fort redoux en montagne
11.11.2009 - Source : www.meteo-chamonix.org
Vue des mayens de Volovron 
C'est les vacances pour les chamois :-)
Avec l'aimable autorisation de Michel :
Fin de journée automnale sur la Dent-Blanche.
Tsa de l'Ano, Dent-Blanche et Dents de Veisivi
Premières neiges
Sasseneire - 8 octobre 2009
Couronne impériale Anniviers (Weisshorn, Zinalrothorn, Obergabelhorn) et Dent-Blanche. Vue du Sasseneire.
Dent-Blanche, Dent d'Hérens, glacier de Ferpècle 
Vue des Rocs de Villa. 
Vue de la vallée du sommet de la Petite Dent de Veisivi
Développement régional du val d'Hérens
21 millions pour un tourisme doux - Fort du soutien unanime du Parlement, le canton va investir 5,6 millions de francs dans le développement régional du val d'Hérens
Originale, l'idée a déjà séduit l'ensemble du Parlement. Hier, le Grand Conseil a en effet accepté à l'unanimité de soutenir le projet de développement régional du val d'Hérens et de débloquer le crédit-cadre y relatif. Une participation cantonale de 5,6 millions de francs qui permettra de couvrir à peine un quart d'un projet très ambitieux, devisé à 21 millions de francs et qui doit devenir réalité entre 2009 et 2015!
Mélange public - privé
Dans le détail, ces 21 millions de francs doivent servir à financer des infrastructures publiques d'agritourisme (arène polyvalente, sentiers pédestres, centres de promotion et de vente, etc...) pour 9,35 millions; des bâtiments privés (accueil, hébergement, restauration) pour 3,72 millions; des bâtiments ruraux et alpestres à vocation agricole pour 2,07 millions; des campagnes de formation, de communication et de promotion pour 1,99 million ou encore des infrastructures agricoles collectives ou publiques (comme des bisses, des chemins agricoles ou des réseaux d'irrigation) pour 1,6 million. Sur ce total d'investissement de 21,08 millions, seul un montant de 13,06 millions a été retenu à titre de contributions «à fonds perdus», selon une clé de répartition qui prévoit une manne fédérale présumée de 6,04 millions, cette part cantonale légèrement supérieure à 5,6 millions et des participations communales à hauteur de 1,4 million. (...)
Source : http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/economie/21-millions-pour-un-tourisme-doux_15-162065
Originale, l'idée a déjà séduit l'ensemble du Parlement. Hier, le Grand Conseil a en effet accepté à l'unanimité de soutenir le projet de développement régional du val d'Hérens et de débloquer le crédit-cadre y relatif. Une participation cantonale de 5,6 millions de francs qui permettra de couvrir à peine un quart d'un projet très ambitieux, devisé à 21 millions de francs et qui doit devenir réalité entre 2009 et 2015!
Mélange public - privé
Dans le détail, ces 21 millions de francs doivent servir à financer des infrastructures publiques d'agritourisme (arène polyvalente, sentiers pédestres, centres de promotion et de vente, etc...) pour 9,35 millions; des bâtiments privés (accueil, hébergement, restauration) pour 3,72 millions; des bâtiments ruraux et alpestres à vocation agricole pour 2,07 millions; des campagnes de formation, de communication et de promotion pour 1,99 million ou encore des infrastructures agricoles collectives ou publiques (comme des bisses, des chemins agricoles ou des réseaux d'irrigation) pour 1,6 million. Sur ce total d'investissement de 21,08 millions, seul un montant de 13,06 millions a été retenu à titre de contributions «à fonds perdus», selon une clé de répartition qui prévoit une manne fédérale présumée de 6,04 millions, cette part cantonale légèrement supérieure à 5,6 millions et des participations communales à hauteur de 1,4 million. (...)
Source : http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/economie/21-millions-pour-un-tourisme-doux_15-162065
Collon Trek - 5 septembre 2009
Le 5 septembre 2009, 1ère édition du Collon trekDeux vallées : une seule histoire
Le territoire autour du Col Collon est representé par une zone transfrontalière riche de traditions, souvent semblables sur les deux versants de la montagne. Ce qui rend ce territoire unique pour la pratique du trekking de très haut niveau.
La Communauté de Montagne du Grand Combin et le Val d’Hérens deviennent un point de repère pour l’organisation d’une initiative très singulière qui n’est pas seulement une compétition sportive, mais une occasion unique pour développer l’image touristique du territoire et promouvoir les atouts culturels et naturels autour du Col Collon.
La course Collon-Trek devient donc une nouveauté dans le panorama national et international car il s’agit de l’unique épreuve qui engage les coureurs dans la traversée d’un glacier.
Le territoire autour du Col Collon est representé par une zone transfrontalière riche de traditions, souvent semblables sur les deux versants de la montagne. Ce qui rend ce territoire unique pour la pratique du trekking de très haut niveau.
La Communauté de Montagne du Grand Combin et le Val d’Hérens deviennent un point de repère pour l’organisation d’une initiative très singulière qui n’est pas seulement une compétition sportive, mais une occasion unique pour développer l’image touristique du territoire et promouvoir les atouts culturels et naturels autour du Col Collon.
La course Collon-Trek devient donc une nouveauté dans le panorama national et international car il s’agit de l’unique épreuve qui engage les coureurs dans la traversée d’un glacier.
La course
Le Collon-Trek est une course de haute montagne d’environ 24 Km (+1400 m de dénivelé positif et –1200 m de dénivelé négatif).
Le parcours consiste à relier les Vallées de Bionaz (Haut- Valpelline en Vallée d’Aoste-Italie) et le Val d’Hérens (Valais- Suisse) en empruntant principalement les sentiers anciennement employés par les Contrebandiers.
La Course est réservée aux équipes formées de 2 concurrents : âge minimum 18 ans.Cette épreuve comporte de nombreux passages en altitude (entre 2000 et 3000 mètres) et la traversée d’un glacier. Le Collon-Trek, partant de Bionaz, hameau de Pralet, aux pieds du barrage de Place-Moulin (Vallée d’Aoste-Italie), traverse la frontière italienne et s’achève à 2000 mètres à Arolla (Valais-Suisse).
Le temps maximal de l’épreuve pour être classé est fixé à 9 heures, sous réserve d’avoir respecté certaines barrières horaires intermédiaires, communiquées sur le site « www. collontrek.com ».
Le parcours consiste à relier les Vallées de Bionaz (Haut- Valpelline en Vallée d’Aoste-Italie) et le Val d’Hérens (Valais- Suisse) en empruntant principalement les sentiers anciennement employés par les Contrebandiers.
La Course est réservée aux équipes formées de 2 concurrents : âge minimum 18 ans.Cette épreuve comporte de nombreux passages en altitude (entre 2000 et 3000 mètres) et la traversée d’un glacier. Le Collon-Trek, partant de Bionaz, hameau de Pralet, aux pieds du barrage de Place-Moulin (Vallée d’Aoste-Italie), traverse la frontière italienne et s’achève à 2000 mètres à Arolla (Valais-Suisse).
Le temps maximal de l’épreuve pour être classé est fixé à 9 heures, sous réserve d’avoir respecté certaines barrières horaires intermédiaires, communiquées sur le site « www. collontrek.com ».
Source : http://www.collontrek.com/
La perfection ???
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Parc naturel dans le val d'Hérens
(I-VS).- Après le parc naturel régional du Binntal en 2008, la Confédération a décidé de soutenir la création de deux nouveaux parcs d’importance nationale en Valais : le parc naturel régional de Pfyn-Finges et celui du Val d’Hérens. La qualité des valeurs naturelles, paysagères et culturelles constitue un atout majeur pour la création de parcs naturels régionaux. Encore faut-il que les atteintes à ces même valeurs soient modérées, qu’un potentiel de renforcement économique axé sur le développement durable existe et que la population et les communes concernées soutiennent le projet. Au même titre que pour le parc du Binntal, ces éléments indispensables sont réunis pour les projets de Pfyn-Finges et du Val d’Hérens. C’est pourquoi le Gouvernement valaisan soutient la création de ces deux parcs et se réjouit de la décision positive de l’OFEV.
Avec le parc du Binntal, trois parcs naturels régionaux sont désormais en phase de création en Valais. La spécificité de chacun des projets assure leur complémentarité et garantit une offre diversifiée aux nombreux visiteurs attendus. Les échanges entre parcs seront gages de qualité et de durabilité.
Si le feu vert de l’OFEV est pleinement réjouissant, le chemin reste encore long jusqu’à l’obtention du précieux label « Parc naturel régional ». Parmi les principales étapes, figurent l’approbation par les communes d’un contrat de parc et l’évaluation par la Confédération d’une charte, comprenant une planification à moyen et long terme.
Le Grand Raid VTT Verbier-Grimentz - 20 ans déjà !
Pionnier des marathons VTT, le Grand Raid soufflera ses 20 bougies le samedi 22 août 2009. 3'500 coureurs sont attendus ce week-end entre Verbier, Hérémence, Evolène et Grimentz. 5430 mètres de montée et de descente abruptes à travers de majestueux paysages alpins, cent vingt et un kilomètres d'efforts intensifs sur des sentiers rocailleux, une logistique hors-normes pour assurer la sécurité et le ravitaillement de milliers de concurrents: vingt ans après sa création, le Grand Raid n'a rien perdu de son mythe.
Avénement d'un mythe : L'idée de cette course a mûri dans la tête d'une bande de copains qui voulaient refaire le parcours de la Patrouille des Glaciers en vélo tout terrain. Mais on s'est vite rendu compte que ce n'était pas réalisable en un jour. Ils ont donc opté pour un parcours inversé et raccourci, reliant Verbier à Grimentz. Les organisateurs de la première édition de 1989 attendaient 300 participants, il y en eut 700...
Avénement d'un mythe : L'idée de cette course a mûri dans la tête d'une bande de copains qui voulaient refaire le parcours de la Patrouille des Glaciers en vélo tout terrain. Mais on s'est vite rendu compte que ce n'était pas réalisable en un jour. Ils ont donc opté pour un parcours inversé et raccourci, reliant Verbier à Grimentz. Les organisateurs de la première édition de 1989 attendaient 300 participants, il y en eut 700...
Et demain : Pour les stations traversées ainsi que pour le Valais, le Grand Raid représente une formidable vitrine touristique. Tout sera mis en œuvre pour assurer la pérennité de la manifestation. Certaines adaptations seront néanmoins nécessaires : finance d'inscription, nouvelles sources de financement, modification du parcours, etc...
Au programme : Les casernes de Sion, idéalement situées entre Verbier, Hérémence, Evolène et Grimentz, accueilleront le village du vélo le vendredi 21 août, dès 11 heures. Cet espace permettra aux retardataires de s'inscrire et à tous les concurrents de contrôler leur machine.
La course mythique offre trois possibilités de départs qui ont les caractéristiques suivantes : entre Verbier et Grimentz 121km avec un dénivelé de 5430m, entre Hérémence et Grimentz 68km avec un dénivelé de 3270m et d'Evolène à Grimentz 41km avec un dénivelé de 2011m. Le point culminant des 3 parcours reste le passage du Pas-de-Lona, juge impitoyable de la course. La course au départ de Hérémence et Evolène est ouverte aux jeunes dès 15 ans. Samedi soir, concert de Paul Mc Bonvin sur l'aire d'arrivée à Grimentz, dès 18h30.
Informations : http://www.grand-raid.ch/
Météo du Grand-Raid : http://meteograndraid.blogspot.com/
La course mythique offre trois possibilités de départs qui ont les caractéristiques suivantes : entre Verbier et Grimentz 121km avec un dénivelé de 5430m, entre Hérémence et Grimentz 68km avec un dénivelé de 3270m et d'Evolène à Grimentz 41km avec un dénivelé de 2011m. Le point culminant des 3 parcours reste le passage du Pas-de-Lona, juge impitoyable de la course. La course au départ de Hérémence et Evolène est ouverte aux jeunes dès 15 ans. Samedi soir, concert de Paul Mc Bonvin sur l'aire d'arrivée à Grimentz, dès 18h30.
Informations : http://www.grand-raid.ch/
Météo du Grand-Raid : http://meteograndraid.blogspot.com/
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