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Buvette Téléski du Zaté - 31 décembre 2010


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Inauguration des Collines à La Sage - 29 décembre 2010

Loin de l'agitation des grandes stations, les villages Sur-les-Rocs drainent une clientèle éprise de calme. Les commerces résistent tant bien que mal. A l'image du mythique café des Collines, qui s'offre une nouvelle vie.

Ouvert! Certainement le meilleur adjectif pour qualifier le café-restaurant des Collines à la Sage. L'établissement, fermé depuis le 24 octobre 2007, a repris de l'activité en ce début d'hiver. Le nouveau propriétaire et tenancier, Jean Steffen, a décidé de perpétuer la typicité de ce lieu chargé d'histoire. A la plus grande joie des habitants de Sur-les-Rocs et des amoureux de la région. 2500 d'entre eux avaient signé une pétition lancée par l'épicière du village Bernadette Follonier. «Pour que le bistrot ne soit pas transformé en chalet de particulier et qu'il reste l'endroit authentique et mythique si cher à nos coeurs».

Ouvert sur le monde


Mythique, l'établissement l'est assurément. A l'image de sa conceptrice et tenancière, Marie Follonier Quinodoz ou «Marie des Collines» comme l'a immortalisée dans un ouvrage son neveu Jean-Michel Quinodoz*.

Erigé en 1959, ce commerce est rapidement devenu un café littéraire et philosophique. La personnalité de «Marie des Collines», paysanne de montagne rayonnante et chaleureuse, érudite au goût immodéré pour la lecture, dévorant «Le Monde» ou «Le Canard enchaîné», a largement contribué à porter la réputation du troquet au-delà des frontières valaisannes.

Causeries, lectures et rencontres au coin du feu ont séduit de nombreux artistes et intellectuels.

Il faut dire que le terreau était fertile. Le Haut val d'Hérens fut une région prisée des peintres de l'Ecole de Savièse (Biéler, Vallet, Dallèves, de Ribeaupierre...). Des musiciens de réputation internationale ont séjourné ou viennent encore dans le cadre des concerts donnés dans la région. La tradition voulait que chaque concert à La Sage soit suivi d'un verre au café des Collines.

Plusieurs artistes y avaient leurs habitudes comme le comédien Maurice Aufair ou le cinéaste Francis Reusser. Pour l'anecdote, c'est au café des Collines que le réalisateur de «Derborence» apprit par la télévision qu'il avait décroché le «César 1985 du meilleur film francophone», alors qu'à Paris, on le cherchait dans la salle!

Ouvert sur la montagne

Cet esprit alliant tradition et modernité, perpétué au fil du temps, Jean Steffen le connaissait lorsqu'il s'est intéressé à reprendre des Collines. Le Vaudois a passé ses vacances en famille à la Sage depuis l'enfance. «Mes parents ont bien connu Marie. J'ai noué de bons contacts avec Eliane, sa fille», explique-t-il. Après un divorce et des désillusions professionnelles, cet informaticien féru d'alpinisme a décidé de s'ouvrir à une autre réalité, celle de la vie à la montagne. L'élément déclencheur? Une boutade avec son amie Raymonde, patronne haute en couleur du Mazot, à Evolène, autre bistrot où de belles rencontres sont possibles avec des artistes. Lors d'une discussion, l'idée de racheter les Collines est évoquée. «Sur le ton de la plaisanterie», avoue-t-il en servant un apéro, une fondue ou une tarte aux fruits maison. A la croisée des chemins dans sa vie et propriétaire d'une parcelle contiguë, Jean Steffen va ainsi acheter la clé et rouvrir les lieux.

Porte ouverte

Le nouveau propriétaire a conservé le cachet d'origine du chalet dans lequel domine le bois de mélèze et trône un poêle en pierre ollaire. Seule transformation architecturale: le carnotzet est dorénavant relié par un escalier intérieur à la salle du restaurant. Le grand balcon extérieur a été qualifié de «plus belle terrasse du val d'Hérens » par «l'Hebdo» en 1992 . Entre jouissance du panorama et espoir d'une contemplation vraie.

Dans la salle, lumière adoucie, sons atténués, chaleur réconfortante... «Les gens qui viennent restent longtemps, parfois plus de cinq heures d'affilée». Propice pour recréer l'esprit d'un café-philo? «Elle était Marie, je suis Jeannot. Mais un jour, d'une table à l'autre, un musicien et un notable sédunois ont évoqué son souvenir et parlé d'auteurs divers.» L'homme fait confiance au millier de livres rassemblés par «Marie des Collines» dans un petit cabanon voisin, sorte de bibliothèque officielle et symbole d'ouverture sur le monde. Il laisse également la porte ouverte à son intuition. «Des travailleurs viennent aussi, des familles. L'établissement pourrait connaître quelque tension entre un désir de quiétude et une joyeuse agitation. On verra», murmure Jean qui sait apprécier les valeurs citadines et montrer celles de son nouveau pays...

Inauguration officielle le mercredi 29 décembre. http://www.cafedescollines.ch/

Source : http://www.lenouvelliste.ch/

Snow & Rock - Programme hiver 2011-2011

Découvrez le programme Snow & Rock 2010-2011 ainsi que le nouveau site web de Snow & Rock

Nouvelle tournée au café des collines - 27 novembre 2010

L’inattendue reconversion d’un ingénieur vaudois en bistrotier a rendu au petit village de La Sage du val d’Hérens son Café des Collines, qui fut un carrefour de littérature et de philosophie, raconte Xavier Filliez

«J’avais besoin de m’arrimer quelque part.» L’histoire d’amour entre Jean Steffen et le Café des Collines, à La Sage, dans le haut val d’Hérens, commence par une métaphore alpine: la peur du vide, laissée par un divorce et «plusieurs désillusions professionnelles». Il faut dire qu’ici, le vide est partout. A gauche: les Dents de Veisivi. Au centre, Sa Majesté le Pigne d’Arolla. A droite, qui guignent derrière une barrière de granit ­saupoudrée par les neiges: les Aiguilles Rouges d’Arolla. Des 3000 somptueux.

En bon montagnard, Vaudois venu en vacances dans la vallée avec ses parents depuis sa plus tendre enfance, assistant de vol pour la compagnie de sauvetage Air-Glaciers durant ses études, jusqu’à rêver de devenir un jour guide de montagne, Jean Steffen s’accroche. Et se lance un défi: rouvrir le Café des Collines, cette institution laissée à la vallée par une érudite du début du siècle, Marie Quinodoz, qu’on n’appellera plus que par son sobriquet chantant, «Marie des Collines» 1 dès l’ouverture de son troquet en 1960.

La dame a marqué son époque comme les peintures d’automne tamponnent les mélèzes avoisinants. Abonnée aux journaux Le Monde et Le Canard enchaîné, philosophe à ses heures et passionnée de littérature, Marie des Collines animait des soirées conviviales de réflexion et de lecture au coin du feu. Son entregent et la chaleur de son accueil marquèrent des ­générations.

Un groupe Facebook

L’autre jour, Eugène Vuignier, un client du matin, ravi par la réouverture des lieux au mois d’octobre dernier, se rappelait le costume qu’elle portait quotidiennement et son inséparable porte-cigarettes. «Ici, c’était sa table. Il y avait beaucoup de musiciens et des gens très cultivés qui venaient au café.»

A son décès, ses enfants se succèdent pour reprendre l’établissement, mais vient le jour, en 2007, où la relève finit par manquer. Ce qui n’est du goût de personne. L’épicière du coin, Bernadette Follonier, lance une pétition qui récolte 2500 signatures, impulsion prolongée par un groupe de soutien Facebook.


Source : http://www.letemps.ch/  / Xavier Filliez

Café des Collines : http://www.cafedescollines.ch/

Les remontées mécaniques du val d'hérens à la peine - 24 novembre 2010

Les petites remontées mécaniques sont dans une posture délicate. A l'image de celles du haut val d'Hérens. Mais il est encore prématuré de parler de fusion.

Les types de remontées mécaniques présentes dans la région de Sion-Hérens-Conthey varient beaucoup. De grandes entreprises s'y développent comme à Thyon, Nendaz ou Veysonnaz. Des sociétés de taille moyenne, plus à la peine, y sont également implantées à l'image de Télé Anzère. Dans le val d'Hérens, des remontées mécaniques plus petites - Télé Mont-Noble, Télé Evolène, Remontées mécaniques d'Arolla et même Blanchalp à la Forclaz - existent. Leur situation économique est préoccupante. Le chef du service du développement économique, François Seppey, indiquait dans notre édition d'hier que le canton allait soutenir la politique d'investissement et la fusion des remontées mécaniques, notamment pour les petites structures. Etat des lieux.

EVOLENE: Déficitaire

Petite société, Télé-Evolène réfléchit à sa restructuration. L'entreprise réalise un chiffre d'affaires annuel de 850 000 francs. Trop peu pour «faire tourner le ménage», de l'avis du président du conseil d'administration Damien Métrailler. La commune d'Evolène, actionnaire à part égale avec Télé-Thyon, éponge des déficits qui oscillent entre 100 000 et 300 000 francs par exercice. Cette sous-capacité chronique serait le résultat d'une situation complexe. «On articule le chiffre de 5000 lits sur la commune», explique Damien Métrailler. «Mais ils ne sont de loin pas tous des lits marchands. De plus, la région réalise annuellement 300 000 nuitées dont seulement la moitié en hiver. Enfin, on doit constater que les hôtes ne sont pas forcément skieurs comme les habitants d'ailleurs.»

Actuellement, l'entreprise procède au renouvellement de ses concessions d'exploitation pour vingt-cinq ans. Les demandes ont été déposées à l'Office fédéral des transports à câble. Damien Métrailler a bon espoir que les installations reçoivent le feu vert de Berne. «Nous avons procédé à un demi-million d'investissement sur les infrastructures ces cinq dernières années.» La société est-elle viable à long terme? «Je n'ai pas encore la réponse. Nous pourrons maintenir les infrastructures actuelles à condition que les prestataires touristiques et la population en ressentent le besoin et investissent. Mais un grand changement d'installations comme la construction d'un télésiège performant ou d'une télécabine dépasse les dix millions. Il sera difficilement imaginable de réunir cette somme.» Pour parvenir à ce maintien, l'entreprise devra procéder à une diminution suivie d'une nouvelle augmentation du capital-actions par voie de souscription publique. «Les discussions stratégiques auront lieu l'an prochain. La population sera consultée par voie d'assemblée primaire», explique Damien Métrailler qui n'en dira pas davantage. Parlera-t-on de collaboration voire de fusion des trois sociétés exploitantes de remontées mécaniques dans la commune, à savoir Télé-Evolène, les Remontées mécaniques d'Arolla et Blanchalp? «Il est en tout cas prématuré de parler de fusion.» Dans l'immédiat, une nouvelle sorte d'abonnement commun aux trois domaines skiables est disponible pour cette saison. Parallèlement, le partenariat entre Télé-Evolène et le secteur Printze (Thyon-Veysonnaz-Nendaz) n'a pas été reconduit.

AROLLA: court terme

Les Remontées mécaniques d'Arolla réalisent un chiffre d'affaires de quelque 850 000 francs. Elles viennent de procéder à une recapitalisation par l'arrivée de 600 000 francs dont 200 000 venant de la commune d'Evolène. Cet apport d'argent frais a permis l'entretien et la réparation de certaines infrastructures mais aussi l'assainissement partiel des comptes de la société. Des investissements de l'ordre de 800 000 francs sont envisagés pour des améliorations qualifiées d'indispensables. Lors de la récente assemblée des actionnaires, le président du conseil d'administration Peter Weatherill regrettait l'urgence continue dans laquelle se trouvait la société. «Nous ne pouvons avoir qu'une vision à court terme de son développement.»

LA FORCLAZ: Du quasi-bénévolat

Blanchalp et ses trois téléskis sont un cas particulier. Situées à la Forclaz dans la commune d'Evolène, ces installations ont été «sur le fil du rasoir» comme l'indique le président du conseil d'administration Roger Pralong. 140 000 francs ont été injectés durant ces trois dernières années dans le remplacement d'un câble de téléski ainsi que dans la reconstruction de la buvette d'altitude. La plus grande partie de cet argent frais provient de la commune. Exposées plein sud sans enneigement technique majeur, les pistes sont tributaires des conditions météorologiques. Le chiffre d'affaires peut donc varier de 7000 francs lors d'une année sans or blanc à 211 000 francs, chiffre record de la saison 2008-2009. Aujourd'hui, la société assainie fonctionne avec du personnel sur appel et beaucoup de bonne volonté. Une fusion avec les autres remontées mécaniques de la région? «Nous sommes ouverts à toutes les discussions», conclut Roger Pralong.

Source : http://www.nouvelliste.ch/ / Pascal Fauchère

webcam - 4 novembre 2010


Une semaine de foehn intensif a fait disparaître toute trace d'or blanc jusqu'à plus de 2'000 m.

Remontées mécaniques d'Arolla

Rassurant malgré la fragilité


Les Remontées mécaniques de Fontanesses se donnent un nouveau départ. Desservant la station d'Arolla connue comme carrefour de la Haute Route, la société a procédé à une augmentation du capital-actions ainsi qu'à un changement de nom.

Après le risque de fermeture qui s'était produit la saison passée, le conseil d'administration présente un bilan positif pour son premier exercice, notamment en raison d'amortissements moins élevés. On se souvient que l'hiver dernier, le feu vert de l'organe de contrôle à l'exploitation du domaine n'avait été obtenu que la veille de l'ouverture officielle des installations. Le CITT (Concordat intercantonal sur les téléphériques et les téléskis) avait exigé des travaux urgents sur le téléski principal, véritable colonne vertébrale qui dessert le haut du domaine skiable.

Argent frais

Rebaptisée Remontées mécaniques d'Arolla pour une meilleure visibilité, la société a réduit son capital-actions de 80% et a procédé à une augmentation de ce dernier. Et la souscription a dépassé les attentes. Quelque 600 000 francs ont été trouvés contre les 400 000 francs espérés. Il faut dire que la commune d'Evolène a mis la main au porte-monnaie à hauteur de 200 000 francs. Une augmentation complémentaire du capital-actions est ainsi envisagée dans les deux ans. L'apport d'argent frais a permis l'entretien et la réparation de certaines infrastructures mais aussi l'assainissement des comptes de la société qui a encore en suspens un montant de rattrapage envers la LPP.

Investissement

Au niveau des projets, l'entreprise souhaite rénover la gare de départ et corriger la piste de montée de Fontanesses 1 pour un investissement de l'ordre de 650 000 francs. La réouverture du téléski de Guitsa est aussi à l'étude. Coût estimé: 150 000 francs. "Ces projets étant indispensables à la survie des remontées mécaniques, on aura besoin d'une aide extérieure", a plaidé Michel Rong, membre du conseil d'administration. Son président Peter Weatherill a de son côté regretté l'urgence continue dans laquelle se trouve la société. "Nous ne pouvons avoir qu'une vision à court terme de son développement."

Prochaine échéance: l'ouverture prévue des installations le 18 décembre. A noter qu'un abonnement de 6 jours consécutifs pour la région d'Evolène est disponible cette saison.

Source : http://www.nouvelliste.ch/ / Pascal Fauchère

Combat de génissons aux Haudères - 31 octobre 2010

La 4ème édition du désormais traditionnel combat de génissons des Haudères se tiendra le dimanche 31 octobre 2010 dès 10h30 aux Haudères. Trente-deux génissons participeront à cette manifestation et s'affronteront selon le système d'élimination directe.

Evolène à la Foire de Riddes - 30 octobre 2010

Foire de Riddes (VS) - La foire du 30 octobre est relevée par la présence de la commune d’Evolène. Une centaine de stands dans la rue.

Une journée très attendue et très prisée par lesRiddans et les gens des environs est prévue le 30 octobre. La Foire de Riddes réserve chaque fois son lot de bonnes surprises. Elle garde son identité basée sur le plaisir de la fête et la joiedes retrouvailles tout en élargissant le cercle de ses activités. Cette année, la commune d’Evolène est l’invitée d’honneur.

Au programme :
9 h Ouverture de la foire

10 h 30-11 h L’Arc-en-Ciel (groupe folklorique)
11 h-11 h 30 Officialité Riddes/Evolène
11 h 30-12 h Comment fabrique-t-on le fromage?
11 h 30-12 h Concert des jeunes de l’Abeille
13 h-13 h 30 Défilé de motos du Custom Chopper
13 h 30-14 h Petit spectacle d’Arc-en-Ciel
14 h-14 h 30 Atelier de danse ouvert au public
14 h 30-15 h Comment fabrique-t-on le fromage?
15 h-15 h 30 Comment habiller un empaillé?
15 h 30-16 h Break Dance de Chamoson
16 h-16 h 30 Les animaux d’Evolène
16 h 30-17 h Break Dance de Chamoson
17 h 30-18 h Démonstration de sculpture de masque
18 h Clôture de la foire - Début de la foirinette
3 h Clôture de la foirinette

http://www.foirederiddes.ch/

Nouvel ouvrage "Evolène en Fête"

Après "Autrefois à Evolène" (2004), Dominique de Ribeaupierre présente un nouveau livre intitulé "Evolène en Fête". Il s'agit d'une sorte de reportage peint présentant la manière qu'ont les Evolénards de fêter le 15 août.

L'artiste vaudoise revient dans ce qu'elle appelle "le beau pays d'Evolène", un endroit où elle aime à se retrouver régulièrment avec son époux.

Cette fois, elle réalise un reportage dessiné , légèrement romancé, sur le thème de la fête du 15 août à Evolène. L'album sobrement intitulé "Evolène en Fête" contient plus d'une quarantaine de magnfiques illustrations. Les personnages de l'histoire sont de vrais Evolénards, présentés de manière très réaliste, avec les mêmes traits et les mêmes noms. Le scénario sert de fil rouge à la découverte des traditions liées à la fête et son traditionnel cortège.

L'album qui sort en 2 langues (français et patois !) a été présenté publiquement le 23 octobre à Evolène.

Conférence: Le Valais au prochain âge glaciaire

13.10.2010, 20h00 - 21h30, Evolène


Au cours des derniers 2 millions d’années de l’histoire de la Terre, le Valais et la plus grande partie de la Suisse étaient recouverts d’une calotte de glace, le pays était inhabitable. Il y a 20'000 ans, la calotte a commencé à fondre, les glaciers se sont retirés pour atteindre leur position actuelle il y a 10'000 ans.

Mais le retour au grand froid, après une période encore chaude pour quelque temps, est plus que probable. Mais dans quelles conditions ? Et avec quelles conséquences ?

Par Walter Wildi, prof. UNIGE

Inscription: Office du tourisme d'Evolène

Délai: au plus tard la veille de la conférence

Prix: 10.-

http://www.lamaisondesalpes.ch/glaciologie-geologie/conferences-161.html

"La Dent-Blanche reine d'Herens" - Film avec Patrick Gabarrou

Dix huit mois de prises de vue au fil des saisons vont donner naissance, à cet automne, à « La Dent Blanche reine d’Hérens », avec, dans le premier rôle, l’infatigable guide de haute montagne. Un film signé Bruno Peyronnet, réalisé avec le soutien financier de Lafuma.
Il aurait pu s’appeler « 40 ans dans la vie d’un grand alpiniste » mais ce sera « La Dent Blanche, reine d’Hérens »… Pour autant, le film que préparent actuellement le célèbre guide de haute montagne, Patrick Gabarrou, et son ami, le spécialiste de la réalisation audiovisuelle d’altitude, Bruno Peyronnet, retracera bien à sa façon l’histoire d’un homme, de ses rencontres, de ce plaisir partagé pour la montagne avec en toile de fond, en forme de fil rouge, cette splendide Dent Blanche.

Son premier 4000

« C’est mon premier 4000 », explique Patrick, conseiller technique chez Lafuma depuis plus de 30 ans. « Je l’ai gravi quand j’avais tout juste 18 ans avec un jeune guide du val d’Hérens, Candide Pralong. Vingt ans plus tard, j’ai ouvert, avec Pierre Gourdin, Deo Gratias, une directissime dans la face nord-ouest puis deux autres itinéraires toujours dans la face nord-ouest avec Tobias Heymann et Christophe Jond. En 2009, pour marquer les 40 ans de ma première ascension, j’y suis retourné avec un jeune aspirant guide, Simon Deniel. Nous avons eu la chance de pouvoir ouvrir une nouvelle voie de 1000m, cette fois-ci dans la grande face nord-est. Nous l’avons baptisée tout simplement “Merci”. »

La Dent Blanche a indiscutablement jalonné la carrière de Patrick. C’est le symbole « de la montagne de toutes les montagnes », dit-il.

La montagne côté plaisir

Pour autant, ce ne sera pas un film seulement sur l’exploit et la rudesse de la performance que nous livrera le réalisateur lors de sa toute première projection, prévue pour les rencontres 2010 du cinéma de montagne de Grenoble. Non. Ce sera plutôt, selon Bruno, « un film de montagne qui parle du plaisir d’être en montagne, de partager, qui fait rêver, qui touche le cœur des gens ». Avec en prime, de très belles images…

Après de nombreuses déconvenues météo, et beaucoup de stress pour l'équipe, les dernières images d'alpinisme du film "Dent Blanche" sont enfin en boîte ! Patrick GABARROU et Michel CORANOTE étaient au sommet de la reine du Valais ce dimanche 12 septembre, l'occasion de mettre en boîte de superbes images hélico de la cordée suspendue entre terre et ciel, faces aux plus beaux 4000 des Alpes...


Le film est en cours de montage, première prévue le vendredi 18 novembre aux Rencontres du Cinéma de montagne de Grenoble.

Voir le teaser : http://vimeo.com/7470582

Col Collon 5000 ans av JC

Passage du Col Collon au Néolithique ancien (env. 5000 av. JC).
in Des Alpes au Léman - Images de la préhistoire, dessin de André Houot
Des découvertes archéologiques récentes font état de passages alpins déjà empruntés vers 8500 avant J.-C. par les chasseurs-cueilleurs. Des objets ont été trouvés au col Collon telle une lame de poignard vieille de plus de 4000 ans. L'hypothèse est que ces chasseurs vont se sédentariser avec l'arrivée des pasteurs-agriculteurs venus de l'Italie du Nord. La traversée des Alpes par les premiers paysans au col Collon est illustrée ici. Dans cette illustration, le glacier ne devrait même pas apparaître pour être plus fidèle à la réalité d’alors.


Passage antique

La présence celte est attestée dans la commune d'Evolène. «Fait étonnant, les peuples du Valais (Ubères, Sédunes, Véragres), semblent avoir plus d'affinités avec les Salasses (Aoste) et les Lépontes (Piémont oriental) qu'avec leurs voisins du Nord, les Helvètes», peut-on lire dans un travail sur la Via Antica de Yannick Beltrami. Des traces romaines (pont, relais, monnaies) ont été aussi mises à jour dans le haut val d'Hérens.

Guerre et paix moyenâgeuses

L'optimum climatique médiéval est une période inhabituellement chaude en Europe, qui a duré de l'an 900 de notre ère jusque vers 1300-1400. «C'est l'époque dorée des échanges commerciaux - marchandises et bétail - à travers les Alpes», note Elfrida Roullet, professeur d'histoire et de géographie dans le val d'Aoste. Et des nombreux accrochages entre Valaisans et Valdôtains aux XIIe et XIIIe siècles... Puis deux documents datant de 1329 et 1369 montrent une volonté de coopération. Le second assigne notamment aux Valaisans une place à Prarayer pour le bétail amené à la foire d'Aoste qui dispose encore de la place d'Hérens derrière l'Hôtel de Ville. A Evolène, le lieu-dit «Clos lombard» situé vers le cimetière communal faisait office de place de marché. Cette voie aurait été plus facile qu'au XXe siècle grâce à des glaciers moins étendus. Certains chercheurs comme Friedrich Röthlisberger estiment au contraire qu'avec une diminution des glaciers, les passages peuvent, dans certains cas, devenir impraticables.

Commerce et glaciation contemporains

Le col Collon constitue une limite politique dès 1475. Au XVIe siècle, compte tenu des tensions avec le Duché de Savoie, la Diète valaisanne décide d'interdire le passage de Collon (1525). Elle revient sur sa décision suite aux pressions hérensardes (1529). On tient encore une foire à Prarayer en 1643 avec du bétail valaisan amené par ce col. La tradition rapporte que l'alpage de Pra Gras, à Arolla, aurait même été exploité par les gens de Valpelline.

Parallèlement débute le «Petit âge glaciaire» qui s'étend jusque vers 1850. Un commissaire du roi de Sardaigne écrit en 1743 qu'on ne traverse désormais le col qu'à la belle saison. Au XIXe siècle, avec l'arrivée des premiers touristes anglais, Ch. Goddeffroy raconte en août 1838: «Le parcours n'est accessible qu'aux piétons et encore est-il très difficile et très dangereux à cause de l'accroissement du glacier supérieur d'Arolla.» De son côté, le curé du Valpelline, l'abbé Henry, explique dans un de ses ouvrages en 1925 qu'«un grand commerce s'y fit surtout entre les années 1830-1870: les riches montagnards d'aujourd'hui doivent au col Collon le commencement de leur fortune.» Les derniers troupeaux de vaches - déclarés - auraient passé la frontière dans les années 1890.

Une croix au Col Collon - 5 septembre 2010

Val d'Hérens/Valpelline


"C'est une véritable reprise des collaborations". Le responsable des projets Interreg pour la Valpelline, Luigi Cortese, est satisfait de l'intensification des échanges avec le val d'Hérens. Dernier exemple en date, la bénédiction, dimanche, d'une nouvelle croix au col Collon, passage clef entre les deux régions. Initié par le président du tour du Cervin roger Anzévui, réalisé par André Chevrier et béni par les curés Don Ivano Reboulaz et René Garessus, l'objet de piété symbolise ce renouveau puisque une ancienne croix datait de 1754.

Quatre-vingts personnes ont fait le déplacement à 3087 mètres d'altitude. "On a chanté en patois", se réjouit le coordinateur Interreg pour le val d'Hérens, Laurent Pitteloud. "L'entente est très naturelle. C'est comme si nous reprenions une discussion simplement interrompue", image Luigi Cortese.

Prochaine échéance, la 2e édition du CollonTrek le 1er weed-end de septembre 2011. La rencontre au col devrait aussi devenir un rendez-vous biennal les années paires.

Source : http://www.nouvelliste.ch/ / Pascal Fauchère

La Dent Blanche depuis Bricola - 4 septembre 2010

Menhir du Liapey d'Enfer - 4 septembre 2010

Le menhir du Liapey d'Enfer, situé entre les alpages de Bréona et de Zaté, au-dessus de la Forclaz (commune d'Evolene)
Il s'agit d'un bloc de serpentine de 8 tonnes dressé au milieu d'un pierrier chaotique issu de la Serra Neire.
Selon une théorie géobiologique, les menhirs canalisent la combinaison des différentes énergies émises par les courants telluriques et courants d'eau sur lesquels ils sont posés pour la renvoyer au cosmos.
Ainsi s'opère tout un échange d'énergie entre le ciel et la terre, ce qui a pour conséquence un assainissement du terrain aux alentours.
En l'occurence, le menhir du Liapey d'Enfer serait une antenne entre le vortex du lac du Zaté et la Dent d'Hérens. L'eau du lac du Tsaté défierait par ailleurs les lois naturelles, car elle a le pouvoir d'être imputrescible.





 

Défi des Entreprises à Evolène - 3 septembre 2010

La coup d’envoi de la 21ème édition du DEFI, le trophée des entreprises a été donné ce matin au domaine des Îles à Sion. 3 jours de compétition entre la capitale valaisanne et la station d’Evolène qui permettront aux 31 équipes présentes de disputer 14 épreuves sportives allant du cyclisme au roller en passant notamment par le canoë, le tir à l’arc, le cross, le VTT, le golf et un raid evolénard, point fort de la journée de vendredi. Au total, quelque 125 km pour plus de 5000 mètres de dénivellation totale (positive et négative). De quoi mettre à rude épreuve les organismes. 26 équipes hommes et 5 équipes mixtes tenteront de ravir le trophée 2010 des mains de la société Philip Morris, vainqueur en 2009 à Champéry.


Ce vendredi, c’est à Evolène que se dérouleront les épreuves du jour. Un raid évolénard (avec du cyclisme, de la course d’orientation, du VTT et du golf) seront au programme (73 km pour quelque 2200 mètres de dénivellation positive).


Le defi en direct : http://www.defi.ch/

Grand Raid: l'Allemand Karl Platt bat tous les favoris

Pour le baptême de son nouveau parcours, le 21 Grand Raid Verbier-Grimentz a accouché d'une surprise. C'est l'Allemand Karl Platt qui a établi la meilleure marque en 7 heures 5 minutes et 15 secondes, 1'50'' devant l'ancien vainqueur français Thomas Dietsch, le Suisse Thomas Zahnd prenant la troisième place à 2'06''.

Grand favori de l'épreuve, Alexandre Moos se contente de la quatrième place à 6'30''. Chez les filles, c'est Fabienne Heinzmann de Miège qui a établi le temps de référence en 9h3'33''.

Jusqu'à Hérémence, un groupe d'une douzaine de coureurs a mené le train. Parmi eux tous les favoris qui avaient pour nom Huber, Moos, Beuchat ou Dietsch. A Mandelon, ils n'étaient plus que 7 à pouvoir prétendre à la victoire, puis 5 à Evolène. A ce moment de la course, Alexandre Moos était en tête de la course. La montée vers Eison, puis vers La Veille lui a été fatale.

Lâché par le trio Platt, Dietsch et Zahnd, le professionnel suisse a été irrémédiablement décroché, perdant jusquà 8 minutes sur la tête de course. L'Allemand a lentement mais sûrement lâché ses compagnons d'échappée pour parvenir au mythique Pas de Lona, point sommital de la course, avec 2 minutes davance sur ses poursuivants au coude à coude.L'écart s'est alors stabilisé, et c'est essentiellement la bagarre pour la deuxième place qui a marqué la course.

Grand Raid Verbier - Grimentz. Messieurs, 137 km: 1. Karl Platt (All) 7h05'15''. 2. Thomas Dietsch (Fr) à 1'49''. 3. Thomas Zhand (Noflen) à 2'06''. 4. Alexandre Moos (Miège) à 6'30''. 5. Urs Huber (Jonen) à 6'54''. 6. Lukas Buchli (Samedan) à 14'41''. Puis: 26. Steve Bovay (S) à 1h30'27''. Dames, 137 km: 1. Fabienne Heinzmann (S) 9h03'33''. 2. Andrea Kuster (Davos) à 19'34''.
(ats)

Cette 21ème édition a été marquée par l'une des plus faibles participations de l'histoire avec seulement 2449 participants selon le communiqué officiel de la course. Une faible participation qui devrait déboucher sur un manque à gagner. Si les organisateurs ne peuvent pas encore le chiffrer, il pourrait peser lourd sur l'avenir de l'épreuve.

21e Grand Raid VTT Verbier-Grimentz - 20-21 août 2010

Swis Mountain Bike Marathon

Quelque 3500 coureurs sont attendus samedi 21 août 2010 dans les Alpes valaisannes pour le Grand Raid Verbier-Grimentz. Il s'agit d'une des plus grandes et des plus belles courses en Europe. 145km pour un dénivelé de 5800m, un défi de taille ! Plusieurs parcours sont possibles: Verbier-Grimentz (137km), Nendaz-Grimentz (93km), Hérémence-Grimentz (68km), Evolène-Grimentz (37km).

Avec la Patrouille des Glaciers, le trail Verbier-St-Bernard et la course de montagne Sierre-Zinal, le Grand Raid fait partie des événements sportifs majeurs de l'année en Valais, à ne rater sous aucun prétexte !

A noter que la course proprement dite sera précédée le vendredi 20 août 2010 à Sion d'une fête du vélo, agrémentée de nombreuses animations, expostions de matériel et de la course du Raidy pour les enfants de 6 à 14 ans.

Chaque jour, suivez la météo spécifique au Grand Raid sur http://meteograndraid.blogspot.com/
Vous y trouverez des informations très précises pour la course.

Pour plus d'informations: +41 27 203 00 10 http://www.grand-raid.ch/

Balade africaine au val d'Hérens

Un magnifique article paru dans Le Temps du jeudi 12 août 2010 offre un aperçu très intéressant de l'histoire géologique du haut Val d'Hérens. Il invite le lecteur à approfondir ses connaissances en la matière tout en relativisant l'impact de l'être humain sur le paysage en général et les glaciers en particulier.

C’est une vallée un peu magique. Les fées y construisent des cheminées, les glaciers des marmites. Et si on sait les écouter, les lichens et les pierres racontent l’histoire mouvementée qui se cache sous le paysage idyllique du val d’Hérens. En quelques kilomètres, on passe de l’Europe à l’Afrique, en marchant au fond de l’ancestral océan Alpin.

Pour lire la suite de l'article, cliquez sur ce lien

Fête folklorique de la mi-été - 14 et 15 août à Evolène

14 août : Dès 11h00, animation dans la rue principale du village. Concert en soirée avec « Cabry » et son groupe.

15 août : 09h00: Cérémonie religieuse sous la tente.
11h00: Démonstration des guides avec sauvetage héliporté. Vols de parapentes. Défilé de voitures anciennes.
14h30: Cortège sur le thème de la vie montagnarde avec une trentaine de chars. Tarif cortège: adulte :CHF 10.-, enfant : CHF 5.-.
 Dès 16h30 sous la tente et dans le village: production des groupes folkloriques « L'Arc-en-Ciel », « L'Alouette » et « Le Vieux Salvan » , de la fanfare « Echo de la Dent-Blanche » et de la société de cor des Alpes « Le Lac Bleu ».

Arolla - 10 août 2010

Marché artisanal de Sur-les-Rocs (La Sage) - 8 août 2010

Ce dimanche 8 août, La Sage organise le traditionnel marché artisanal de Sur-Les-Rocs. De 10h à 18h, nombreux stands d'artisans et de restauration. L'ambiance du marché sera assurée par le groupe folklorique l'Arc-en-ciel. Ateliers de maquillage.

Fête nationale 31 juillet - 1er août

Fête Nationale dans la Région d'Evolène - Le Programme
31 juillet à Evolène :
Sur la place de l'église dès 20:30 , Productions de groupes folkloriques.  21h30 discours officiel. 22h30 Grand feu d‘artifice, suivi d‘un bal avec DJ Stephano de 23h30 à 3h.
1er août à Ferpècle :  dès 19h00 sur la terrasse de l'hôtel du Col d'Hérens, raclette au menu Bal avec DJ Dragosenko (annulé en cas de pluie).
1er août à La Sage : dès 20h30 cortège aux Maisonnettes depuis Villaz ou La Sage. Allocution de Marcel Gaspoz, feux d'artifice et animations musicales.
1er août aux Haudères : Dès 20h20, défilé de la fanfare l‘Echo de la Dent Blanche suivi d'un concert et de la Partie officielle à 20h50 sur la Place de la Poste. Verre de l'amitié. Dès 22h, feu de joie et feu d'artifice.
1er août à Arolla : 11h00 : messe à la Chapelle du Mont Collon suivi d‘un apéritif. Dès 22h00 : feu de joie et verre de l'amitié organisé par la jeunesse d'Arolla en bas des pistes.
1er août à La Gouille :  dès15h00, animations, à 17h00 : Lâcher de ballons.
Informations détaillées auprès des points d'accueil.

Fête au village à Evolène - 24 juillet 2010

Evolène sera en fête ce week-end.
24 juillet : dès 18h30 fête au village avec disverses animations sur la rue principale, bars et carnotzets.
25 juillet : dès 10h marché artisanal et vols en parapente biplace.

Snow & Rock - Programme été 2010

Découvrez le programme de l'été 2010 :
http://www.snowrock.ch/document/File/prospectus/Ete2010.pdf

Nos guides vous accompagnent également dans toutes les activités alpines :
escalade, alpinisme, via ferrata, randonnée, VTT....

INITIATION A L'ESCALADE :
Envie de mettre vos premiers pas dans l'escalade ? Snow Rock organise pour vous une initiation escalade. Prochaines dates :

vendredi 6 août et mardi 17 août 2010

Plus d'infos sur : http://www.snowrock.ch/

Réunion au(x) sommet(s)

Montrer la voie aux randonneurs - 19 juillet 2010

Montrer la voie aux randonneurs
L'itinéraire du Tour du Cervin connaît un bel engouement. La signalisation de sa partie glaciaire a été renforcée. Mais balisé ne rime pas avec sécurisé.

C'est par milliers que les randonneurs se lancent en cette période estivale sur le Tour du Cervin. L'itinéraire connaît un beau succès si l'on en croit les sondages express réalisés sur les sentiers ou dans les gîtes. «Le produit cartonne», se réjouit le président du Tour du Cervin, Roger Anzévui. Cet amoureux de la montagne en veut pour preuve l'intérêt manifesté par les prestataires touristiques - cabanes, hôtels ou commerces - qui jouent bien le jeu. Tant au niveau du soutien financier que de la vente publicitaire. «Il faut croire qu'ils s'y retrouvent.»

Le comité du Tour souhaite d'ailleurs affiner ses statistiques en collaboration avec Valrando. L'idée est d'installer un système de comptage dans les passages clés comme le refuge de Prarrayer, un hameau situé en Valpelline, juste de l'autre côté du col Collon qui le relie au val d'Hérens.
Améliorer les sentiers

Cet engouement implique évidemment un entretien et une amélioration des sentiers des six vallées traversées (Mattertal, Turtmanntal, Anniviers, Hérens, Valpelline et Valtournenche). Depuis sa création en 2002, le tour et ses chemins ont été ponctuellement retouchés. Ce fut le cas l'an dernier sur la partie Sorebois-Moiry qui a bénéficié de travaux à hauteur de 25 000 francs. Ce sera le cas prochainement sur le tronçon entre Zinal et les Haudères.

Signalisation renforcée

En fin de semaine dernière, un accent particulier a été mis sur la seule partie glaciaire du tour située entre Arolla et Prarrayer, une étape longue de 18 kilomètres. L'heure était au renforcement de la signalisation sur ce parcours de haute montagne qui a accueilli pour la première fois le Collon Trek l'an dernier.

C'est la commune d'Evolène qui amène depuis cinq ans un appui logistique sur ce tronçon particulier dont le point culminant, le col, dépasse les 3000 mètres. Une quinzaine de trépieds neufs ont ainsi été acheminés par hélicoptère puis portés à pied jusqu'aux emplacements définitifs. Les trois kilomètres et demi du Haut Glacier d'Arolla sont désormais jalonnés d'une quarantaine de balises.

Un travail de longue haleine car l'entretien est permanent. Les mouvements du glacier conjugués aux conditions atmosphériques endommagent les trépieds que l'on doit régulièrement changer.

Balisé mais pas sécusrisé

Mais attention: balisé ne rime pas avec sécurisé sur cet itinéraire alpin! «Le tracé glaciaire est hors de l'homologation des 250 kilomètres de chemins communaux», indique le responsable de la sécurité de la commune d'Evolène, Pierre-Alain Sierro. «Les randonneurs qui viennent jusqu'ici se promènent sous leur propre responsabilité. Les dangers objectifs - crevasses, chutes de pierre, laves torrentielles - sont ceux de la haute montagne. Nous recommandons vivement de se faire accompagner par un guide.» Un panneau de mise en garde a d'ailleurs été installé au pied du glacier et les accompagnateurs en montagne se font épauler par un guide sur cette partie spécifique.

Quant aux conditions actuelles, elles sont idéales. Pierre-Alain Sierro met toutefois en garde: «Les crevasses sont aujourd'hui bien visibles. Mais il suffit d'un gros orage ou d'une baisse des températures accompagnée d'une mince couche de neige pour que le glacier devienne dangereux.» En moins de vingt-quatre heures...

 
Source : http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/valais/montrer-la-voie-aux-randonneurs-9-212564

Fête au village et marché villageois aux Haudères - 17 et 18 juillet 2010

17 juillet : En soirée : animations, bars, jeux et diverses représentations de sociétés folkloriques .
18 juillet : Dès 10h00 : marché villageois avec une soixantaine d‘exposants. 10h30 : messe célébrée à l'extérieur. Cantines, jeux pour enfants et grands, représentations folkloriques et mini combat de reines...

J'ai 20 ans et je parle patois - 16 juillet 2010

Décidément, le patois d'Evolène est très médiatique en ce début d'été 2010.
Après TF1 en mai, la TSR en juin, voici Le Temps qui, dans son édition du 18 juillet,  publie une série très intéressante d'articles et vidéos sur le patois d'Evolène. A découvrir sur le site internet du quotidien en cliquant sur ce lien.

Un remède à la canicule ? Villaz en été - 14 juillet 2010

C'est y pas beau avec un peu de fraicheur ?

Canicule (bis) - 14 juillet 2010

9 juillet 2010 : Le thermomètre a atteint les 24,8 C à 16h à la station météo de Villa/Evolène (1825m). Dans le même temps, il a fait 33,6 C à Sion. Pourtant, les records de 2003 sont encore bien loin.

14 juillet 2010 : Alors que la température a atteint 35,6 C à Sion (record 2010), la station météo Villaz/Evolène (1825m) n'a mesuré "que" 23,8C aujourd'hui




webcam - 14 juillet 2010

Vol pour épater la galerie :-)

L'hérens, nouvelle héroïne de Derib

Le dessinateur de Yakari va créer une BD consacrée à la vache valaisanne. Son titre: «Tu seras reine». La sortie est prévue en 2012.

Après une vie passée dans les plaines américaines, la plume de Derib va dessiner des vaches de la race d'Hérens. Le célèbre papa du petit «Indien Yakari et de Buddy Longway» va raconter l'histoire d'une jeune fille et de sa vache. L'album s'intitulera «Tu seras reine».

De vrais héros valaisans

La particularité de cette BD est que ses personnages existent vraiment et que Derib les a rencontrés. Le grand-père de l'histoire, par exemple, aura les traits d'Antoine Forclaz, l'homme qui vit toute l'année dans les mayens de Cotter et dont Andrée Fauchère a déjà raconté la vie dans «Cotter - 2057 mètres. Au Mayen d'Antoine». L'héroïne animale existe aussi. Elle s'appelle «Violette». Derib l'a déjà dessinée, avec la justesse de celui qui a compris ce qui fait l'âme de la race d'Hérens. «Je suis plus un peintre animalier qu'un auteur de BD», déclare le créateur de «Petit Tonnerre».

Lieu de naissance

«Pour la première fois, je créerai ma BD directement à l'endroit où l'histoire se déroule», poursuit Derib. L'histoire se passera dans la région d'Evolène. Le choix des lieux n'est pas innocent du tout. S'il vit aujourd'hui à la Tour de Peilz, il a de profondes attaches dans la région d'Evolène. «Je suis presque né ici. Quand j'avais 2 mois, mes parents m'ont amené à la Forclaz. J'ai vécu à Bréonna, au lieu dit Petit-Paradis et qui en était vraiment un. C'est mon père (n.d.l.r.: le peintre François de Ribeaupierre) qui avait bricolé les lieux.
Mes cinq premières années de vie sont purement valaisannes. Je suis marqué par le Valais et par les vaches de la race d'Hérens. Avec cette histoire, je boucle la boucle, car je dessinerai une partie de mon enfance.» C'est ici aussi qu'il a eu son premier contact avec la gent équine. «Mon premier cheval était un mulet. Je l'ai rencontré quand je ne marchais pas encore. Je lui caressais les naseaux. C'était doux. Le mulet a été important dans ma vie. A l'époque, il n'y avait pas de chevaux dans la région, ni d'ânes. Il n'y avait que des mulets et des vaches

Un hymne au Valais

Derib, de son vrai nom Claude de Ri- beaupierre, va commencer à dessi-ner en novembre ou décembre de cette année et il espère que «Tu seras reine» puis-se paraître à la mi-2012 et qu'elle soit ainsi prête pour la Rencontre du livre de montagne d'Arolla.

Derib veut faire de cette BD un hymne au Valais. «J'aimerais qu'il devienne un livre pour écoliers.» Un peu comme «Jo», sa BD consacrée à la prévention du sida ou «Pour toi Sandra», consacrée à la prévention de la prostitution... mais cette fois dans un univers beaucoup plus gai. «Je veux rendre les Valaisans fiers de leur canton.»

Il a déjà prévu que l'histoire sera traduite en patois, patois d'Evolène évidemment, par Gisèle Pannatier.

Source : http://www.nouvelliste.ch/

Grand Raid - Journée de reconnaissance au départ d'Evolène, le 17 juillet 2010

Le parcours du Grand Raid 2010 a subi quelques modifications. Afin de découvrir une partie du nouveau tracé, les organisateurs proposent une journée reconnaissance le samedi 17 juillet prochain. Le rendez-vous est fixé aux casernes à Sion à 08h15’. Un car avec remorque pour VTT conduit les coureurs jusqu’à Evolène. Départ d’Evolène à 9 heures, direction Grimentz via St-Martin pour découvrir le nouveau tracé. A Grimentz, les participants pourront partager un repas avant de rentrer en car sur Sion. Le prix de la journée, avec transports et repas de midi inclus : fr. 49.-. Inscriptions obligatoires à info@grand-raid.ch ou en appelant le 078 626 44 29. Nombre de places limité.

Couleur locale de la TSR à Evolène - 29 juin 2010

Voir la vidéo :
http://www.tsr.ch/video/info/couleurs-locales/#id=2183931;nav=info/couleurs-locales/?year=2010&month=6&day=28