A sept jours du premier départ, les organisateurs de la PDG doivent faire face aux mauvaises conditions météo.
Les organisateurs de la Patrouille des Glaciers sont mis sous pression par le mauvais temps qui sévit en altitude. Durant la dernière quinzaine, les hélicoptères de l'armée n'ont pu réaliser que très peu de rotations sur Tête blanche ou la Rosablanche depuis Arolla.
Hier et aujourd'hui par contre, les forces aériennes mettent les bouchées doubles pour rattraper le retard. Deux Super Puma et trois EC 635 ont transporté des premiers éléments nécessaires à la préparation du parcours et des postes: tentes, génératrices, fuel, fraiseuses, pelles, balises... Au total, 80 tonnes de matériel sont acheminées par camion jusqu'à Satarma puis par hélicoptère sur la douzaine de postes d'altitude répartis tout au long des 53 kilomètres de course entre Zermatt et Verbier.
"Nous avons du retard mais aussi des jours de réserve", tempère le lieutenant-colonel EMG Olivier Séverin, commandant de la région Arolla - Les Hauts. "Hier, le travail fourni a été tout simplement incroyable et des hommes sont déjà restés en montagne pour poursuivre l'effort". Et si le mauvais temps s'acharne, la 15e édition pourrait-elle être remise en cause en raison de problèmes logistiques? "Non. Nous avons des variantes étudiées pour chaque problème. L'objectif est d'avoir monté tous les postes pour mardi prochain."
Source : Le Nouvelliste
Photo : Christian Hofmann
Source : Le Nouvelliste
Photo : Christian Hofmann
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire